Un enjeu de liberté par le père Marc Haeussler
Fuite dans le virtuel, vies fragmentées, ... Quand se réveille-t-on ?
Paru le : 08 décembre 20228,00€ TTC
Langage de vérité
« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » (A. Camus)
Le « sans limite » comme mode de vie
Quels gêneurs !… Ces gens qui veulent sortir la tête de l’eau
De l’attention captée à l’attention donnée
Notre attention, un lieu de conversion
Le rapt de notre attention et de notre volonté
Vivre en présence
Ne pensez pas, on pense pour vous !
Menés par le bout du nez
La fin et les moyens
Une lucidité trop peu relayée
Repères civilisationnels
Du « sans-limite » au transhumanisme
À marche forcée
Peu importe les départs de feu, il-faut-avancer
Marche avant/arrière : notre intelligence bloquée sur un axe
« Train de l’histoire » et retour au cœur humain
Se réconcilier avec le réel
Comment voulons-nous vivre ?
Conscience et liberté
Défiance et confiance
L’intime, le langage, le sommeil, le sourire
« Le goût et la saveur du réel »
Soif humaine, soif d’exister, soif de Dieu
Créature limitée ? Une délivrance
Habiter notre vie charnelle, déjà habitée par Dieu
De notre démesure à l’Amour sans mesure… Se laisser aimer, vivre, participer
Surcroîts d’humanité
Marc Haeussler est né en 1972. Après plusieurs années consacrées à l’accompagnement de personnes avec un
handicap, il devient prêtre pour le diocèse de Nancy et Toul. Il est actuellement curé de paroisse.
Vous aussi, avez fait ce constat : des pans entiers de notre vie, de nos relations, basculent du réel au virtuel, du monde sensible au monde numérique offrant de se laisser guider.
On fait « comme si » : comme si tout cela n’était qu’une question d’ « outils » à savoir bien utiliser. En réalité, c’est un mode de vie qui nous est imprimé, fascinant nos esprits, jusqu’à les fragmenter.
Une révolution est pensée pour nous.
Et nous… Que voulons-nous ?
Au lieu de laisser notre capacité de penser et d’agir à des puissants qui ont tout intérêt à nous fasciner, posons-nous ces questions :
Pour quel Bien commun voudrions-nous nous battre ? A partir de quelle vision de l’homme ? Vers qui soupirons-nous ? Ni ange, ni bête, ni machine, se découvrir homme, créature aimée, voilà qui délivre !
L’enjeu est d’inviter à reconquérir une marge de liberté, un usage de ces trésors que sont notre conscience et notre intelligence.